La Transat Québec –Saint Malo 7ème du nom débute son compte à rebours à 6 jours du coup de canon qui lancera dimanche 20 juillet prochain 28 équipages à l assaut de l immense fleuve Saint Laurent prélude singulier à une transat qui fleure bon la nostalgie le voyage et l esprit d aventure.nHomogène et cohérentela flotte de cette Transat Québec Saint-Malo 2008 est prête à assurer le long des rives du Saint Laurent le spectacle d un grand départ de course.nCréée en 1984 cette Transat ne revendique aucune saveur sucrée aucun parfum d épices à l exotisme exacerbé labellisé Caraïbes . La Transat Québec Saint-Malo claque comme une écoute rebelle dans l imaginaire des marins et ouvre le registre de l Histoire d un temps révolu où traverser l Atlantique relevait au mieux d un rêve d une gageure absolue promesse d horizons époustouflantsde rivages insensés et de magie permanente. Dimanche ils seront donc 28 marins à ouvrir en grand leur livre de bord impatients d y écrire les noms tout droit sortis d un fabuleux patrimoine maritime Matane Percée îles de la MadeleineSaint Pierre Terre-Neuve
La Transat Québec –Saint Malo 7ème du nom débute son compte à rebours à 6 jours du coup de canon qui lancera dimanche 20 juillet prochain 28 équipages à l assaut de l immense fleuve Saint Laurentprélude singulier à une transat qui fleure bon la nostalgie le voyage et l esprit d aventure.rnHomogène et cohérente la flotte de cette Transat Québec Saint-Malo 2008 est prête à assurer le long des rives du Saint Laurent le spectacle d un grand départ de course.rnCréée en 1984 cette Transat ne revendique aucune saveur sucrée aucun parfum d épices à l exotisme exacerbé labellisé Caraïbes . La Transat Québec Saint-Malo claque comme une écoute rebelle dans l imaginaire des marins et ouvre le registre de l Histoire d un temps révolu où traverser l Atlantique relevait au mieux d un rêved une gageure absolue promesse d horizons époustouflants de rivages insensés et de magie permanente. Dimanche ils seront donc 28 marins à ouvrir en grand leur livre de bord impatients d y écrire les noms tout droit sortis d un fabuleux patrimoine maritime MatanePercée îles de la Madeleine Saint Pierre Terre-Neuve
24 ans d histoire de la course au large en équipage
Elle aura décidément tout connu cette course originale voulue par les Québécois il y a déjà 24 ans pour commémorer la découverte du Canada par un certain Jacques Cartier. Les grands multicoques de l ère Jet Services ou Royale s y sont donnés à cÅ“ur joie sous la férule des Loïc Caradec ou Serge Madecavant de laisser l hégémonie des trimarans de 60 pieds squatter l essentiel du palmarès. Mutation de la flotte océanique et donne économique obligent ce sont cette année près de trente unités au profil et à la taille plus modestes qui enchantent depuis leur arrivée nos cousins québécois. Les multicoques sont toujours là plus frêles que leurs aînés puisqu appartenant à la Classe des 50 Open. Leur chef de file Franck-Yves Escoffier a souvent démontré depuis trois saisons qu il pouvait tenir la dragée haute aux défunts trimarans ORMA.
Une nouvelle en pleine essor à l assaut de la Transat
Mais la nouveauté de cette 7ème édition réside bien dans le retour massif des monocoques à l ombre du château Frontenac. Aventureuse à souhait baignée d anticonformisme et avant toute chose assoiffée de large et de libertéla toute jeune Classe des 40 pieds a massivement répondu présent au rendez-vous Québécois faisant écho quatre siècles plus tard à l appel de l inconnu et du mystère qu évoquait jadis la Nouvelle France. Souvent issus de la très générique Classe Mini à l instar des Benoit Parnaudeau Tanguy Delamotte Cécile Poujol et Halvard Mabire les marins de cette 7e Transat Québec Saint Malo tracent avec enthousiasme et fraîcheur un sillon bien éloigné des canons qui président depuis une décennie à l humeur de la voile océanique française. Icipoint de gros Teams organisés mais l esprit convivial et solidaire des hommes de mer. Aux discours formatés de certains sportifs professionnels domine la rudesse joyeuse des longs récits de leurs navigations hauturières. Face au puissant Saint Laurent l appel d un large pourtant distant de plus de 300 km se fait insistant. Au compte-goutte les équipiers rejoignent leurs skippers et s activent à bichonner le voilier chargé de les porter au delà du pays des Belugasoutre Atlantique vers le vieux Continent. Homogène et cohérentela flotte de cette Transat Québec Saint-Malo 2008 est prête à assurer le long des rives du Saint Laurent le spectacle rare ici d un grand départ de course. Elle offrira aussi un vrai profil sportif tant la configuration fluvialepuis insulaire avant le grand large de cette course ouvre le jeu au talent et à l instinct des navigateurs quasiment à armes égales dans leurs classes respectives
Animationvérificationsreprésentations
Les festivités du 400ème anniversaire de la création du Québec se poursuivent toute cette semaine dans le port de Québecoù le bassin des concurrents de la transat est le cÅ“ur névralgique. Les choses sérieuses débutent pour les marins qui vont voir à partir d aujourd hui défiler à leur bord les officiels de l UNCL chargéssous la houlette de Sylvie Viantdes vérifications de sécurité. La Ville de Québec recevra comme c est de coutume tous les équipages à l Hôtel de Ville. Le compte à rebours ne cessera de s emballer avant le décompte décisif de dimanche prochain à partir de 11 heures locales et le premier départ des multicoques et Classe FICOsuivi 30 minutes plus tard de la Classe 40.
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__24 ans d histoire de la course au large en équipage__
Elle aura décidément tout connu cette course originale voulue par les Québécois il y a déjà 24 anspour commémorer la découverte du Canada par un certain Jacques Cartier. Les grands multicoques de l ère Jet Services ou Royale s y sont donnés à cÅ“ur joie sous la férule des Loïc Caradec ou Serge Madecavant de laisser l hégémonie des trimarans de 60 pieds squatter l essentiel du palmarès. Mutation de la flotte océanique et donne économique obligentce sont cette année près de trente unités au profil et à la taille plus modestes qui enchantent depuis leur arrivée nos cousins québécois. Les multicoques sont toujours làplus frêles que leurs aînés puisqu appartenant à la Classe des 50 Open. Leur chef de fileFranck-Yves Escoffier a souvent démontré depuis trois saisons qu il pouvait tenir la dragée haute aux défunts trimarans ORMA.rn rn__Une nouvelle en pleine essorà l assaut de la Transat__
Mais la nouveauté de cette 7ème édition réside bien dans le retour massif des monocoques à l ombre du château Frontenac. Aventureuse à souhaitbaignée d anticonformisme et avant toute chose assoiffée de large et de libertéla toute jeune Classe des 40 pieds a massivement répondu présent au rendez-vous Québécoisfaisant écho quatre siècles plus tard à l appel de l inconnu et du mystère qu évoquait jadis la Nouvelle France. Souvent issus de la très générique Classe Minià l instar des Benoit ParnaudeauTanguy DelamotteCécile Poujol et Halvard Mabire