Départ pluvieux départ heureux ? C est tout ce qu on souhaite à Jean-Pierre Nicol qui vient d élancer son monotype Bernard Controls sur la ligne de départ de la 3e étape de La Solitaire du Figaro donné dès la première tentative à 12h ce jeudi à Gijon. Destination Roscoff 436 milles au nord avec une marque de parcours de taille à respecter : l île d Yeu à laisser à bâbord. Cette première partie de course – 230 milles vers l île vendéenne – sera d ailleurs probablement la portion la plus difficile de l étapecar une large bulle anticyclonique sans vent barre la route des 40 solitaires et son évolution est très incertaine. Autrement dit danger !
Départ pluvieux départ heureux ? C est tout ce qu on souhaite à Jean-Pierre Nicol qui vient d élancer son monotype Bernard Controls sur la ligne de départ de la 3e étape de La Solitaire du Figaro donné dès la première tentative à 12h ce jeudi à Gijon. Destination Roscoff 436 milles au nordavec une marque de parcours de taille à respecter : l île d Yeu à laisser à bâbord. Cette première partie de course – 230 milles vers l île vendéenne – sera d ailleurs probablement la portion la plus difficile de l étape car une large bulle anticyclonique sans vent barre la route des 40 solitaires et son évolution est très incertaine. Autrement dit danger !
Il faudra réactualiser la météo en permanence à bord et ne pas se tromper de côté. Et même en cas de réussite à Yeu l étape sera loin d être terminée avec à négocier ensuite le contournement de la pointe de Bretagne. Donc des effets de courant à aller chercher car même si les coefficients de marée ne sont pas impressionnantsmieux vaut toujours prendre le tapis roulant dans le bon sens que l inverse !
Quelque instants après le coup de canon on notait 15 noeuds de secteur nord-ouest sur le magnifique petit parcours de départ devant Gijon. C est Vincent Biarnes crânement parti bâbord amures qui menait la danse. Sur un embouteillage à la dernière bouée Jean-Pierre Nicol était contraint de s élancer vers le large très légèrement en deuxième rideau. Rien de grave : les quelques longueurs concédées à ce départ ne représentent strictement rien au regard des 430 milles compliqués qui se présentent devant l étrave. Sur la deuxième étape Armel Le Cléac h était parti bien plus mal et on sait ce que ça a donné à l arrivée : une victoire. Pas d inquiétudedonc c est à partir de maintenant que les affaires vraiment sérieuses commencent en commençant tout juste à s extraire des rivages de Gijon. En route vers la Bretagne !
Il faudra réactualiser la météo en permanence à bord et ne pas se tromper de côté. Et même en cas de réussite à Yeu l étape sera loin d être terminée avec à négocier ensuite le contournement de la pointe de Bretagne. Donc des effets de courant à aller chercher car même si les coefficients de marée ne sont pas impressionnants mieux vaut toujours prendre le tapis roulant dans le bon sens que l inverse !
Quelque instants après le coup de canonon notait 15 noeuds de secteur nord-ouest sur le magnifique petit parcours de départ devant Gijon. C est Vincent Biarnes crânement parti bâbord amures qui menait la danse. Sur un embouteillage à la dernière bouée Jean-Pierre Nicol était contraint de s élancer vers le large très légèrement en deuxième rideau. Rien de grave : les quelques longueurs concédées à ce départ ne représentent strictement rien au regard des 430 milles compliqués qui se présentent devant l étrave. Sur la deuxième étape Armel Le Cléac h était parti bien plus mal et on sait ce que ça a donné à l arrivée : une victoire. Pas d inquiétude doncc est à partir de maintenant que les affaires vraiment sérieuses commencent en commençant tout juste à s extraire des rivages de Gijon. En route vers la Bretagne ! 1 0 00 0 0 f