BARCELONA WORLD RACE : OBJECTIF PODIUM POUR JEAN LE CAM

Il aurait été surprenant que Jean Le Cam s aligne au départ d une course avec toute autre ambition que de viser l une des trois marches du podium. La Barcelona World Race dont le départ sera donné depuis la capitale catalane vendredi 31 décembre à 13 heures aiguise à l instar d un Vendée Globe l appétit de Jean Le Cam. Le monocoque Imoca « Président » il le partagera tout au long des 46 300 km de course théorique avec Bruno Garcia Barcelonais pur jus. Internationalisation de la Classe découverte d un autre savoir vivre de la course au largeet l amitié d un co-skipper attachant et chaleureux… Tout se conjugue en cette fin d année pour faire de Jean Le Cam un marin décontracté à la veille d entamer sa quatrième circumnavigation.

Il aurait été surprenant que Jean Le Cam s aligne au départ d une course avec toute autre ambition que de viser l une des trois marches du podium. La Barcelona World Race dont le départ sera donné depuis la capitale catalane vendredi 31 décembre à 13 heures aiguise à l instar d un Vendée Globe l appétit de Jean Le Cam. Le monocoque Imoca « Président » il le partagera tout au long des 46 300 km de course théorique avec Bruno Garcia Barcelonais pur jus. Internationalisation de la Classedécouverte d un autre savoir vivre de la course au large et l amitié d un co-skipper attachant et chaleureux… Tout se conjugue en cette fin d année pour faire de Jean Le Cam un marin décontracté à la veille d entamer sa quatrième circumnavigation.

« J adore Barcelone ! » la magie de la grande cité Méditerranéenne où planent les ombres visionnaires de Christophe Colomb et de Gaudi exerce sur Jean Le Cam à la veille d un rendez-vous océanique majeur un tour du monde d ouest en est par grands caps à laisser bâbord Bonne Espérance Leeuwin et Horn les effets apaisants d un sain dépaysement. Loin de la voile « Franco-française » qu il pratique depuis plus de 30 ansle Finistérien goûte sans bouder son plaisir à la mise en scène Ibérique de son activité de marin hauturier. « Depuis le temps que l on cherche à exporter cette voile océanique cela fait plaisir de vivre au plus près une expérience d organisation menée par d autres instances que françaises » souligne Jean. « Le plateau est très fortement marqué par la présence des Espagnols et il est intéressant d observer ici une maturation assez similaire à celle que l on a connue en France il y a peu de temps. » Certes les voiliers dernier cri demeurent l apanage des tricolores mais Jean Le Cam au contact de son co-équipier barcelonais Bruno Garcia est aux premières loges pour juger de l intérêt croissant du grand public et des médias pour la disciplineet accompagner la montée en puissance du savoir naviguer vite et loin de marins espagnols à l évidente culture maritime. « Tout à Barcelone respire la présence de la mer dans la culture et dans l histoire » souligne Jean déjà impatient de suivre par les actes la direction pointée par le doigt de Christophe Colomb du haut de la monumentale colonne qui domine le Port Vell.

« Nous avons en très peu de temps atteint un très bon niveau de préparation » poursuit Jean. En louant Ecover III à Mike Golding nous savions que nous n avions que peu de chances de nous tromper » précise Jean Le Cam tout en soulignant : « Ce n est pas mon bateau et il a fallu s adapter à des choix architecturaux qui ne sont pas les miens. » Ceci vite esquivéJean Le Cam ne retient de l expérience des trois derniers mois trop fugitivement écoulés que l efficacité d une préparation menée tambour battant à Port la Forêt. Un temps particulier qui aura permis de tisser des liens profonds et sincères entre Bruno Garcia cardiologue de son état et celui qu il appelle « la légende française de la voile ». « Bruno a vécu à la maison. Notre entente s est développée naturellement et je peux affirmer que ne pouvais pas trouver meilleur co-équipier ».

D ultimes sorties sont programmées devant Barcelone. Jean Le Cam et Bruno Garcia laissent à loisir vagabonder leur imagination vers les noms chargés de mystère et d inconnu détroit de Cook notamment passage obligé de la Barcelona World Race et que Jean découvrira pour la première fois. « Ce parcours recèle quelques différences avec le Vendée Globe. Le passage à Cookque je suis ravi d emprunter la limite Nord pour rester à distance de la dérive des glaces et bien entendu ce tronçon méditerranéen par Gibraltar qui est tout sauf anecdotique tant la Méditerranée semble rétive à se plier aux prévisions météo… »

Barceloneson art de bien vivre cette nouvelle course qui intrigue et excite curieux et journalistes l amitié d un Bruno Garcia en plein rêve éveillé semblent gommer le stress du départ au point qu à quelques heures du réveillon Jean ignorait à ce jour où et comment il comptait fêter Noël.

J adore Barcelone ! la magie de la grande cité Méditerranéenne où planent les ombres visionnaires de Christophe Colomb et de Gaudi exerce sur Jean Le Cam à la veille d un rendez-vous océanique majeur un tour du monde d ouest en est par grands caps à laisser bâbord Bonne Espérance Leeuwin et Horn les effets apaisants d un sain dépaysement. Loin de la voile « Franco-française » qu il pratique depuis plus de 30 ans le Finistérien goûte sans bouder son plaisir à la mise en scène Ibérique de son activité de marin hauturier. « Depuis le temps que l on cherche à exporter cette voile océanique cela fait plaisir de vivre au plus près une expérience d organisation menée par d autres instances que françaises » souligne Jean. « Le plateau est très fortement marqué par la présence des Espagnolset il est intéressant d observer ici une maturation assez similaire à celle que l on a connue en France il y a peu de temps. » Certes les voiliers dernier cri demeurent l apanage des tricolores mais Jean Le Cam au contact de son co-équipier barcelonais Bruno Garcia est aux premières loges pour juger de l intérêt croissant du grand public et des médias pour la discipline et accompagner la montée en puissance du savoir naviguer vite et loin de marins espagnols à l évidente culture maritime. « Tout à Barcelone respire la présence de la mer dans la cultureet dans l histoire » souligne Jeandéjà impatient de suivre par les actes la direction pointée par le doigt de Christophe Colomb du haut de la monumentale colonne qui domine le Port Vell.

« Nous avons en très peu de temps atteint un très bon niveau de préparation » poursuit Jean. En louant Ecover III à Mike Goldingnous savions que nous n avions que peu de chances de nous tromper » précise Jean Le Cam tout en soulignant : « Ce n est pas mon bateauet il a fallu s adapter à des choix architecturaux qui ne sont pas les miens. » Ceci vite esquivéJean Le Cam ne retient de l expérience des trois derniers mois trop fugitivement écoulés que l efficacité d une préparation menée tambour battant à Port la Forêt. Un temps particulier qui aura permis de tisser des liens profonds et sincères entre Bruno Garciacardiologue de son étatet celui qu il appelle « la légende française de la voile ». « Bruno a vécu à la maison. Notre entente s est développée naturellement et je peux affirmer que ne pouvais pas trouver meilleur co-équipier ».

D ultimes sorties sont programmées devant Barcelone. Jean Le Cam et Bruno Garcia laissent à loisir vagabonder leur imagination vers les noms chargés de mystère et d inconnudétroit de Cook notammentpassage obligé de la Barcelona World Raceet que Jean découvrira pour la première fois. « Ce parcours recèle quelques différences avec le Vendée Globe. Le passage à Cookque je suis ravi d emprunterla limite Nord pour rester à distance de la dérive des glaceset bien entenduce tronçon méditerranéen par Gibraltarqui est tout sauf anecdotiquetant la Méditerranée semble rétive à se plier aux prévisions météo… »

Barceloneson art de bien vivrecette nouvelle course qui intrigue et excite curieux et journalistesl amitié d un Bruno Garcia en plein rêve éveillésemblent gommer le stress du départau point qu à quelques heures du réveillonJean ignorait à ce jour où et comment il comptait fêter Noël.